C'est ce com de Mike qui m'a donné l'idée de ce jeu : "Waw quelle bonne idée je trouve ce topic, ça change des jeux....lol" que j'ai lu sur le beau topic d'Argane sur les "grandes scènes du cinéma".
De quoi s'agit-il ?
Ce n'est pas un jeu avec des points, mais un jeu tout de même, en forme de chaîne humaine et cinématographique.
Il s'agit, par l'intermédiaire d'un acteur ou d'une actrice, de faire des lien sur les films que l'on a aimé...
Exemple : Je parle de NICOLAS CAGE et je donne mon avis sur "The lord of war". Celui qui fait le lien avec mon article le fait par l'intermédiare de NICOLAS CAGE. Exemple, Michael fait MATTHEW MODINE et parle de "BIRDY". Ensuite, il faut faite le lien avec "MATTHEW MODINE". Vous avez compris ?
De quoi s'agit-il ?
Ce n'est pas un jeu avec des points, mais un jeu tout de même, en forme de chaîne humaine et cinématographique.
Il s'agit, par l'intermédiaire d'un acteur ou d'une actrice, de faire des lien sur les films que l'on a aimé...
Exemple : Je parle de NICOLAS CAGE et je donne mon avis sur "The lord of war". Celui qui fait le lien avec mon article le fait par l'intermédiare de NICOLAS CAGE. Exemple, Michael fait MATTHEW MODINE et parle de "BIRDY". Ensuite, il faut faite le lien avec "MATTHEW MODINE". Vous avez compris ?
Je me lance pour le premier jeu
NICOLAS CAGE dans "THE LORD OF WAR"....
![]()
On le savait, Andrew Niccol n’est pas un nain de jardin à l’écriture et à la mise en scène : « Bienvenue à Gattaca », « S1mone », « Truman show », « Le terminal ».
Dans « Lord of war », il prend le postulat de placer le point de vue du côté de l’armurier. La première séquence nous montre d’ailleurs, par le biais d’une caméra subjective, un champ de douilles comme pour bien souligner que la parole sera offerte à l’arme de guerre et à celui qui la vend. Et d’entrée, le discours du « Seigneur de la guerre » se propose de faire dans le cynisme, d’un point de vue que l’on a pas l’habitude d’entendre : « Il y a plus de 550 millions d'armes à feu en circulation dans le monde, ce qui fait une personne sur douze possédant une arme à feu. La question qui se pose est la suivante : comment faire pour armer les onze qui restent ? ». C’est extrêmement bien écrit, vif et lucide, sans complaisance, le plus souvent drôle et provocant.
Andrew Niccol va nous promener ainsi, dans son tour du monde de la guerre, avec la voix off de Nicolas Cage et son propos cynique à souhait, en ponctuant sa mise en scène inventive, toujours en mouvement, d’images qui accentuent ou contredisent le point de vue initial. Le cinéma a démontré souvent que ceux qui avaient joué avec la voix-off dans leur narration offraient un décalage de point vue tout à fait enrichissant : « American beauty », « Sunset Boulevard », « Citizen Kane », « Barry Lyndon ». En parlant de ce dernier film, on peut d’ailleurs faire le lien, toute proportion gardée, avec le Maître Kubrick et son point de vue toujours décalé sur les horreurs de la guerre.
Quoi qu’il en soit, il est clair qu’il y a énormément d’ambition dans ce travail. On sent que l’auteur s’est fortement documenté sur son sujet. On pourra seulement regretté que le ton cynique se détricote au fur et à mesure du récit pour offrir petit à petit un regard plus conventionnel et attendu, entrant dans une moralité bien pensante. C’est là évidemment, dans l’audace non soutenue du début jusqu’à la fin de la narration, que « Lord of war », pêche un peu. Mais un peu seulement, car hormis le texte post-film, discours politiquement correct sur les grandes nations marchandes d’armes, l’audace narrative est quasi toujours au rendez-vous.
A souligner aussi l’interprétation de Nicolas Cage, qui n’en fait ni trop, ni trop peu, entièrement au service du cynisme de son texte, offrant ainsi une personnalité tout à fait ambiguë et crédible.
« Lord of war », presque original, presque cynique, presque parfait. C’est déjà pas si mal.
A quelqu'un maintenant de faire le lien avec Nicolas Cage... Ca ne doit pas être nécessairement long. Une phrase suffit parfois pour donner son avis sur un film...
NICOLAS CAGE dans "THE LORD OF WAR"....
On le savait, Andrew Niccol n’est pas un nain de jardin à l’écriture et à la mise en scène : « Bienvenue à Gattaca », « S1mone », « Truman show », « Le terminal ».
Dans « Lord of war », il prend le postulat de placer le point de vue du côté de l’armurier. La première séquence nous montre d’ailleurs, par le biais d’une caméra subjective, un champ de douilles comme pour bien souligner que la parole sera offerte à l’arme de guerre et à celui qui la vend. Et d’entrée, le discours du « Seigneur de la guerre » se propose de faire dans le cynisme, d’un point de vue que l’on a pas l’habitude d’entendre : « Il y a plus de 550 millions d'armes à feu en circulation dans le monde, ce qui fait une personne sur douze possédant une arme à feu. La question qui se pose est la suivante : comment faire pour armer les onze qui restent ? ». C’est extrêmement bien écrit, vif et lucide, sans complaisance, le plus souvent drôle et provocant.
Andrew Niccol va nous promener ainsi, dans son tour du monde de la guerre, avec la voix off de Nicolas Cage et son propos cynique à souhait, en ponctuant sa mise en scène inventive, toujours en mouvement, d’images qui accentuent ou contredisent le point de vue initial. Le cinéma a démontré souvent que ceux qui avaient joué avec la voix-off dans leur narration offraient un décalage de point vue tout à fait enrichissant : « American beauty », « Sunset Boulevard », « Citizen Kane », « Barry Lyndon ». En parlant de ce dernier film, on peut d’ailleurs faire le lien, toute proportion gardée, avec le Maître Kubrick et son point de vue toujours décalé sur les horreurs de la guerre.
Quoi qu’il en soit, il est clair qu’il y a énormément d’ambition dans ce travail. On sent que l’auteur s’est fortement documenté sur son sujet. On pourra seulement regretté que le ton cynique se détricote au fur et à mesure du récit pour offrir petit à petit un regard plus conventionnel et attendu, entrant dans une moralité bien pensante. C’est là évidemment, dans l’audace non soutenue du début jusqu’à la fin de la narration, que « Lord of war », pêche un peu. Mais un peu seulement, car hormis le texte post-film, discours politiquement correct sur les grandes nations marchandes d’armes, l’audace narrative est quasi toujours au rendez-vous.
A souligner aussi l’interprétation de Nicolas Cage, qui n’en fait ni trop, ni trop peu, entièrement au service du cynisme de son texte, offrant ainsi une personnalité tout à fait ambiguë et crédible.
« Lord of war », presque original, presque cynique, presque parfait. C’est déjà pas si mal.
A quelqu'un maintenant de faire le lien avec Nicolas Cage... Ca ne doit pas être nécessairement long. Une phrase suffit parfois pour donner son avis sur un film...
Lol Chris, toujours de bonnes idées, bien sur je n'ai rien contre les jeux, au contraire, je trouvais juste que ça commençait à faire beaucoup, suffit qu'il y'en ait un qui trouve l'idée, pour que tout le monde fasse pareil.
On avait perdu la notion de "Forum".
Les autres jeux ne m'interessent pas trop, c'est pourquoi je ne vais que sur le tien. :)
En tout cas, ravi d'avoir été la source de ce beau et fabuleux nouveau jeu, plus original, et vraiment très interessant que tu viens de mettre en place.
J'ai hâte d'y participer, et quand j'aurais fini de parler pour rien dire, je vais commencer lol :)
Très très bonne idée donc, parce qu'original et qui n'a rien à voir avec les autres.
Et dieu seul sait combien j'aime l'originalité, et les trucs différents....
:) Bien sur ce, je commence!
On avait perdu la notion de "Forum".
Les autres jeux ne m'interessent pas trop, c'est pourquoi je ne vais que sur le tien. :)
En tout cas, ravi d'avoir été la source de ce beau et fabuleux nouveau jeu, plus original, et vraiment très interessant que tu viens de mettre en place.
J'ai hâte d'y participer, et quand j'aurais fini de parler pour rien dire, je vais commencer lol :)
Très très bonne idée donc, parce qu'original et qui n'a rien à voir avec les autres.
Et dieu seul sait combien j'aime l'originalité, et les trucs différents....
:) Bien sur ce, je commence!
Par contre, Nicolas Cage, c'est pas trop mon inspiration, donc je vais pas faire dans l'original sur ce coup là, hélas, et je vais choisir "Birdy", ça tombe bien, j'aime bien le film.
Allez, c'est parti!
L'aspiration de chaque homme à vivre libre, voici le thème récurrent du cinéma d'Alan Parker.
"Birdy", film datant de 1984, magnifiquement réalisé, confirme ce parti pris, grâce à sa mise en scène, d'une grande sobriété et un scénario, profondément humain, cette oeuvre du cinéaste anglais, fascine dès les premiers instants par son regard juste et subtil d'une société en déclin.
"Birdy" est une étude de moeurs, un bijou cinématographique orienté sur l'oubli des combattants de guerre, destabilisés par les horreurs morales et physiques qu'elle provoque sur l'esprit.
En cela le métrage de Parker, s'appuie davantage sur l'aspect psychologique des personnages que sur leur retour dans la vie active. Il parle des dégats infligés par la guerre, et non de la réinsertion à la vie active des oubliés de la guerre.
Parker attache une grande importance à l'esthétisme dans son film, la photographie, au tein bleuté évoque irrémédiablement le passé froid des personnages. L'ambiance huis clos de la cellule de Birdy, dénonce l'enfermement psychologique du protagoniste, sa déchéance morale.
De même le personnage incarné par Nicolas Cage, est une démonstration de la maltraitance physique du soldat d'après guerre.
Son rôle, intense, éprouvant, nous démontre les grandes capacités d'acteur dont l'interprète inoubliable du "Sailor et Lula" de David Lynch fait preuve.
Mais son rôle, aussi magnifique soit il, n'est rien à côté de celui incarné par un Matthew Modine méconnaissable.
Rarement la folie et le malaise intérieur auront été aussi beau à l'écran.
Mise à part peut être dans "Vol au dessus d'un nid de coucou" de Milos Forman.
Deux ans avant son interprétation dans "Full Metal Jacket" de Stanley Kubrick, Modine transcende l'écran et s'impose comme un acteur remarquable.
Un film inoubliable, qui démontre le talent évident d'Alan Parker, cinéaste trop souvent sous estimé, et qui mérite beaucoup plus d'interêt qu'on lui en porte...
A vous maintenant, sur "Matthew Modine" c'est ça la règle non? lol
Allez, c'est parti!
L'aspiration de chaque homme à vivre libre, voici le thème récurrent du cinéma d'Alan Parker.
"Birdy", film datant de 1984, magnifiquement réalisé, confirme ce parti pris, grâce à sa mise en scène, d'une grande sobriété et un scénario, profondément humain, cette oeuvre du cinéaste anglais, fascine dès les premiers instants par son regard juste et subtil d'une société en déclin.
"Birdy" est une étude de moeurs, un bijou cinématographique orienté sur l'oubli des combattants de guerre, destabilisés par les horreurs morales et physiques qu'elle provoque sur l'esprit.
En cela le métrage de Parker, s'appuie davantage sur l'aspect psychologique des personnages que sur leur retour dans la vie active. Il parle des dégats infligés par la guerre, et non de la réinsertion à la vie active des oubliés de la guerre.
Parker attache une grande importance à l'esthétisme dans son film, la photographie, au tein bleuté évoque irrémédiablement le passé froid des personnages. L'ambiance huis clos de la cellule de Birdy, dénonce l'enfermement psychologique du protagoniste, sa déchéance morale.
De même le personnage incarné par Nicolas Cage, est une démonstration de la maltraitance physique du soldat d'après guerre.
Son rôle, intense, éprouvant, nous démontre les grandes capacités d'acteur dont l'interprète inoubliable du "Sailor et Lula" de David Lynch fait preuve.
Mais son rôle, aussi magnifique soit il, n'est rien à côté de celui incarné par un Matthew Modine méconnaissable.
Rarement la folie et le malaise intérieur auront été aussi beau à l'écran.
Mise à part peut être dans "Vol au dessus d'un nid de coucou" de Milos Forman.
Deux ans avant son interprétation dans "Full Metal Jacket" de Stanley Kubrick, Modine transcende l'écran et s'impose comme un acteur remarquable.
Un film inoubliable, qui démontre le talent évident d'Alan Parker, cinéaste trop souvent sous estimé, et qui mérite beaucoup plus d'interêt qu'on lui en porte...
A vous maintenant, sur "Matthew Modine" c'est ça la règle non? lol
Oui, Matthew Modine ou un autre acteur de "Birdy"... Comme le jeu l'indique, il faut trouver un lien ou une chaîne entre les propositions.
Exemple :
1. Schneider dans le vieux fusil
2. Noiret dans les côtelettes
3. Bouquet dans Deux hommes dans la ville
4. Delon dans mon homme
5. Nathalie Baye dans la balance
Etc, etc, etc. Compris ?
En ce qui me concerne, j'avais déjà lu ton bel article sur ce film sublime![]()
Exemple :
1. Schneider dans le vieux fusil
2. Noiret dans les côtelettes
3. Bouquet dans Deux hommes dans la ville
4. Delon dans mon homme
5. Nathalie Baye dans la balance
Etc, etc, etc. Compris ?
En ce qui me concerne, j'avais déjà lu ton bel article sur ce film sublime
ok ok, compris cousin!!!!!
Donc je pense que c'est bon là pour Birdy, ça devrait aller pour trouver la suite.
Le suivant, j'ai hâte de voir, peut être un article sur Modine dans Full Metal.....:)
Donc je pense que c'est bon là pour Birdy, ça devrait aller pour trouver la suite.
Le suivant, j'ai hâte de voir, peut être un article sur Modine dans Full Metal.....:)
Je vais continuer sur la proposition de Mike pour tenter de bien faire comprendre le jeu et ainsi le lancer.
1. J'ai choisi "NICOLAS CAGE" en parlant de "Lord of war".
2. Mike fait le lien avec effectivement "Matthew Modine" qui a joué avec Cage dans "Birdy".
3. Je choisis "MICHELLE PFEIFFER" qui a joué avec Modine dans "Veuve mais pas trop"
VEUVE MAIS PAS TROP
Le film que Jonatham Demme réalisa juste avant l’énoooooorme « Silence des agneaux ». Une comédie sans prétention au sein de la mafia. Quelques petites faiblesses de scénario ou de gags un peu trop gros ci et là, mais sinon un divertissement plus qu’honorable. Un ton qui frôle le burlesque et qui réussit à garder cette image tout au long du film. Les personnages sont très bien dessinés. D’abord, Michèle Pfeiffer, en veuve déphasée, qui se révèle au grand public avec ce rôle, qui lui vaut d’ailleurs sa première nomination aux Golden Globe de la meilleure actrice. Autour d’elle, un couple bien déjanté, peut-être le meilleur du spectacle avec Dean Stockwell et Mercedes Ruehl. Ils réussissent le pari de rendre le cliché du couple mafioso tout à fait crédible. Il faut absolument les voir dans une des meilleures séquences du film, à l’aéroport, et tout le cinéma qu’ils se font !!! Pour moi, deux comédiens sous-employés. Il faut les revoir, lui, dans « Paris Texas » ou « Blue Velvet » ; elle, sublime dans « Fisher King ». Très bonne idée, en tout cas, de les avoir réunis pour ce film. Matthew Modine, par contre, pas tout à fait à la hauteur sauf dans une scène où il se fond avec des chanteurs de rue lors d’une filature. D’ailleurs, toutes les séquences du point de vue policier sont beaucoup moins réussies que les séquences de mafieux, comme si les scénaristes s’étaient beaucoup plus délectés de travailler une catégorie de personnages plutôt qu’une autre. Avec un meilleur équilibre, le film aurait pu atteindre des sommets. N’empêche, un très bon divertissement qui fonctionne à du 100 à l’heure, avec assez de rebondissements et de drôlerie pour passer un agréable moment.
Maintenant, quelqu'un doit faire le lien avec Michelle Pfeiffer... Normalement, maintenant, ça devrait être clair. Et que la grande chaîne cinématographique et humaine se mette en route !!!!!! lol
1. J'ai choisi "NICOLAS CAGE" en parlant de "Lord of war".
2. Mike fait le lien avec effectivement "Matthew Modine" qui a joué avec Cage dans "Birdy".
3. Je choisis "MICHELLE PFEIFFER" qui a joué avec Modine dans "Veuve mais pas trop"
VEUVE MAIS PAS TROP
Le film que Jonatham Demme réalisa juste avant l’énoooooorme « Silence des agneaux ». Une comédie sans prétention au sein de la mafia. Quelques petites faiblesses de scénario ou de gags un peu trop gros ci et là, mais sinon un divertissement plus qu’honorable. Un ton qui frôle le burlesque et qui réussit à garder cette image tout au long du film. Les personnages sont très bien dessinés. D’abord, Michèle Pfeiffer, en veuve déphasée, qui se révèle au grand public avec ce rôle, qui lui vaut d’ailleurs sa première nomination aux Golden Globe de la meilleure actrice. Autour d’elle, un couple bien déjanté, peut-être le meilleur du spectacle avec Dean Stockwell et Mercedes Ruehl. Ils réussissent le pari de rendre le cliché du couple mafioso tout à fait crédible. Il faut absolument les voir dans une des meilleures séquences du film, à l’aéroport, et tout le cinéma qu’ils se font !!! Pour moi, deux comédiens sous-employés. Il faut les revoir, lui, dans « Paris Texas » ou « Blue Velvet » ; elle, sublime dans « Fisher King ». Très bonne idée, en tout cas, de les avoir réunis pour ce film. Matthew Modine, par contre, pas tout à fait à la hauteur sauf dans une scène où il se fond avec des chanteurs de rue lors d’une filature. D’ailleurs, toutes les séquences du point de vue policier sont beaucoup moins réussies que les séquences de mafieux, comme si les scénaristes s’étaient beaucoup plus délectés de travailler une catégorie de personnages plutôt qu’une autre. Avec un meilleur équilibre, le film aurait pu atteindre des sommets. N’empêche, un très bon divertissement qui fonctionne à du 100 à l’heure, avec assez de rebondissements et de drôlerie pour passer un agréable moment.
Maintenant, quelqu'un doit faire le lien avec Michelle Pfeiffer... Normalement, maintenant, ça devrait être clair. Et que la grande chaîne cinématographique et humaine se mette en route !!!!!! lol
Je me souviens de la prestation de Pfeiffer dans un certain film de Zemeckis, intitulé "Apparences", elle y jouait le rôle de Claire Spencer, épouse d'un Harrison Ford, toujours au top.
Pfeiffer y campe une femme attachante, qui sombre petit à petit dans un infernal tourbillon de visions destructrices.
Je trouve que le film de Zemeckis est très bon, car il se sert de tous les bons éléments du genre.
Des scènes marquantes, qui utilisent tension, surprise et une bonne dose de frisson.
La mise en scène est intelligente, on sent la patte du grand maitre, auteur notamment de la trilogie culte "Retour vers le futur" ou encore "Qui veut la peau de Roger Rabbit", "Forrest Gump" et "Seul au monde".
Je choisi pour continuer, le film "Forrest Gump" de Zemeckis.
A vous....
Pfeiffer y campe une femme attachante, qui sombre petit à petit dans un infernal tourbillon de visions destructrices.
Je trouve que le film de Zemeckis est très bon, car il se sert de tous les bons éléments du genre.
Des scènes marquantes, qui utilisent tension, surprise et une bonne dose de frisson.
La mise en scène est intelligente, on sent la patte du grand maitre, auteur notamment de la trilogie culte "Retour vers le futur" ou encore "Qui veut la peau de Roger Rabbit", "Forrest Gump" et "Seul au monde".
Je choisi pour continuer, le film "Forrest Gump" de Zemeckis.
A vous....
Et bien, je ne l'ai pas vu celui, Mike. Zemeckis, j'aime souvent sauf "Forrest Gump", grosse putasserie (je sens que je vais encore me faire beaucoup d'amis ![]()
Prochaine possibilité donc :
Harrison Ford
Joe Morton
James Remar
Diana Scarwid
Miranda Otto
Prochaine possibilité donc :
Harrison Ford
Joe Morton
James Remar
Diana Scarwid
Miranda Otto
J'vous laisse, je mâte Hitchcock sur Arte !!! +++++
ok c'est un acteur à chaque fois, je croyais que je devais choisir, autant pour moi. Bah t'as cas faire la transition alors, c'st bon j'ai capté le truc! :) (c'était long, mais j'ai réussi à comprendre lol)
ok Chris, à plus tard ++
Autant pour moi, je m'emmême moi-même les pinceaux dans mes propres règles ![]()
Donc le nouveau choix est un film avec n'importe quel acteur ou actrice qui a joué avec Michelle Pfeiffer. On va y arrivé, vous allez voir, on va y arriver, même si j'ai comme l'impression que ce jeu ne passionne pas beaucoup de monde. On verra bien....![]()
Donc le nouveau choix est un film avec n'importe quel acteur ou actrice qui a joué avec Michelle Pfeiffer. On va y arrivé, vous allez voir, on va y arriver, même si j'ai comme l'impression que ce jeu ne passionne pas beaucoup de monde. On verra bien....
Bon j'essaye... même si pas sûr d'avoir tout compris
Al Pacino
Scarface : A la première vision j'ai bcp aimé mais la seconde me suis ennuyé ferme... sûr que c'est culte mais tout est un peu trop lent...
Al Pacino
Scarface : A la première vision j'ai bcp aimé mais la seconde me suis ennuyé ferme... sûr que c'est culte mais tout est un peu trop lent...
Oui Tim, tu as bien comprtis ![]()
Oui, Scarface, un mélange de génie et de médiocrité cinématographique.
Maintenant, trouver un film avec un acteur ou une actrice ayant joué avec Al Pacino![]()
Oui, Scarface, un mélange de génie et de médiocrité cinématographique.
Maintenant, trouver un film avec un acteur ou une actrice ayant joué avec Al Pacino
Heat de Michael Mann
Un film splendide, qui propose un casting fabuleux, réunissant Al Pacino, Val Kilmer et Robert De Niro, la prestation de ce dernier est fascinante, dans ce film, qui pour moi propose l'une des meilleures fusillades de l'histoire du cinéma. Un film prenant, riche en action, mais intelligemment mis en scène.
Grâce à ses acteurs, et notammnent De Niro
Un film splendide, qui propose un casting fabuleux, réunissant Al Pacino, Val Kilmer et Robert De Niro, la prestation de ce dernier est fascinante, dans ce film, qui pour moi propose l'une des meilleures fusillades de l'histoire du cinéma. Un film prenant, riche en action, mais intelligemment mis en scène.
Grâce à ses acteurs, et notammnent De Niro