Un désastre cette cérémonie, qui a récompensée ce que je deteste le plus au cinéma.
Cet espèce de délabrement convenu et poussiéreux.
Le gratin du plus mauvais, du vomi maladif, bref des récompenses de Bourgeois coinçés...
Quel festival d'attributions scandaleuses, qui oublient l'artistique pour montrer sur le devant de la scène un assemblage d'oeuvres aséptisée au mercurochrome...
Beurk, et mille fois beurk, pas un pet de bon sens, et une soirée qui va finir dans la beuverie et l'hypocrisie.
Le cinéma heureusement, ce n'est pas que ça....Sinon, autant se réfugier dans un monastère au tibet, pendant 30 ans...
Pauvre cinéma, ou vas tu? ou es tu?