Une très bonne presse en tout cas.
Je compte le voir samedi à la première scéance, si ça t'intéresse....
Télérama - Frédéric Strauss Barème AlloCiné* :
L'évocation nostalgique de l'Indochine rurale. (...) film, salué dans plusieurs festivals, à juste titre. [...] Etonnamment maîtrisé, le film devient peu à peu une réflexion sur la mémoire. [...]Le propos est, évidemment, très spécifique, et assez décalé par rapport à celui de la majorité des réalisateurs aujourd'hui. Il n'en est que plus précieux.
Lire la critique complète sur le site "Télérama"
Cinéastes - Sara Ri Barème AlloCiné* :
De beaux paysages sont choses banales au cinéma. Pourtant, ceux de Gardien de buffles arrivent à nous surprendre, non tant par leur beauté que par leur originalité, leur conférant ainsi la valeur de la nouveauté (ce qui n'est pas peu de chose). [...] Le décor prend ainsi le pas sur la fiction qui, par contraste, apparaît banale et de peu d'intérêt. Cependant, entre ces paysages inondés et ces buffles affamés survient le récit d'une filiation inversée [...] Du début à la fin, beaucoup de choses ont changé : la beauté des paysages s'est tue laissant la place à la construction d'un personnage et à l'élaboration d'un film qui finit mieux qu'il n'avait commencé.
Studio Magazine - Michel Rebichon Barème AlloCiné* :
Une belle leçon de courage et d'humanisme, un réalisateur à suivre.
Zurban - Waldo Lydecker Barème AlloCiné* :
Dans cette fable d'initiation au récit parfois décousu, le destin d'un individu devient métaphore d'un pays à la recherche de son identité. Le film bénéficie d'une somptueuse photographie qui met en valeur les paysages innondés, et pare de magie l'errance de personnages nomades.
aVoir-aLire.com - La rédaction Barème AlloCiné* :
Qu'il s'agisse de Kim pour qui l'initiation au mode de vie des gardiens de buffles rime avec rixes, pillages, drogue et alcool, et perturbe ses habitudes, de son père confronté à la maladie et à un passé inavouable, ou de toutes les figures emblématiques que l'adolescent croise sur son chemin, Nghiem-Minh Nguyen-Vô se penche sur les contradictions de l'être humain et met subtilement en lumière leur consubstantialité. Non seulement l'acceptation du changement pour mieux l'appréhender, mais aussi celle des souffrances et de la remise en question de soi pour avancer.
TéléCinéObs - Bernard Achour Barème AlloCiné* :
Pour peu qu'on se sente l'âme comtemplative, l'envoûtement n'est pas loin.
Lire la critique complète sur le site "TéléCinéObs"
La revue de presse AlloCiné de "TéléCinéObs"
MCinéma.com - Philippe Scrine Barème AlloCiné* :
Le film repose sur une double ambivalence. Kim respecte son père et se rebelle contre lui. L'eau est à la fois symbole de vie, en irriguant les rizières, et de mort, par les inondations. GARDIEN DE BUFFLES paraîtra austère à beaucoup. Peut-être n'avons nous pas assez de connaissances sur la culture vietnamienne et les traditions bouddhistes. Reste que faire l'effort de s'immerger dans cette histoire élégiaque ne s'avère pas vain.
Première - La rédaction Barème AlloCiné* :
Si le film met un temps fou à apprivoiser le spectateur (première partie soporifique), il l'immerge ensuite dans le cocon hypnotique de ses images où règne majestueusement l'eau, symbole des cycles vitaux.